gouvernement provincial

La gratuité scolaire. De la garderie à l’université… au nom de notre droit à l’éducation !

dimanche 31 août 2008

La gratuité scolaire. De la garderie à l’université… au nom de notre droit à l’éducation !

«L’importance fondamentale de l’éducation pour les individus et les sociétés est un fait avéré et non contesté. En effet, tous s’entendent pour dire que l’éducation permet aux individus de mieux comprendre le monde qui les entoure, de développer leur habileté à penser de façon critique, de favoriser la participation publique et la démocratie et de rendre les individus plus autonomes et conscients de leurs droits et possibilités. Compte tenu de cette importance, l’éducation a, dès 1948, été reconnue comme un droit à l’article 26 de la Déclaration universelle des droits de l’homme. Par la suite, plusieurs conventions internationales et régionales de même que des lois nationales ont reconnu ce droit.»

Guide – Élections provinciales 2003

lundi 26 mai 2003

Guide – Élections provinciales 2003

« Les prochaines élections approchent à grands pas et nous serons très bientôt appeléEs à passer aux urnes. Nous serons invitéEs, individuellement, à apposer un X à côté du nom du candidat qui représente le mieux l’idée que nous nous faisons de la vie en société.

[…]

Ce document est donc avant tout un outil d’éducation populaire autonome, non partisan, destiné à comparer les orientations de différents partis politiques à celles qui sont portées par le MÉPACQ à l’intérieur de son Projet de société adopté en 1993 et de sa Déclaration de principe sur la mondialisation néolibérale adoptée l’an dernier. »

La localisation, la régionalisation et… la mondialisation

samedi 13 décembre 1997

La localisation, la régionalisation et… la mondialisation

« Ce document se veut une analyse des enjeux et impacts des politiques touchant la localisation et la régionalisation sur les populations.

D’entrée de jeu nous devons préciser que, tout au long de ce texte, nous décrirons et analyserons plusieurs réformes visant une « Réorganisation » majeure de l’État québécois. En effet, à force de regarder de plus près les initiatives de monsieur Chevrette et de mesdames Harel et Marois, il nous est apparu assez clairement qu’elles relèvent d’un projet unique. »